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Au fur et à mesure des rénovations successives, logements, bureaux, entreprises se rendent hermétiques et laissent de moins en moins de possibilités au vivant de se loger, nicher ou de se reproduire. Après quelques notions générales sur ce qu’est la biodiversité en milieu urbain, la formation passera en revue les éléments à mettre en œuvre dans les projets de rénovation ou de construction de bâtiments aussi bien pour l’intégration du végétale (toitures vertes, façades végétalisées, etc.), que l’intégration de dispositifs pour la faune (nichoirs pour oiseaux, gîtes pour chauves-souris, habitats pour les insectes). Des clés de réflexion et outils seront fournies pour imaginer des solutions de cohabitation dès l’amont du projet.
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Au fur et à mesure des rénovations successives et des nouvelles constructions, quand ce ne sont pas les chantiers eux-mêmes qui s’attèlent à la destruction des individus et de leur nid, le bâti se rend de plus en plus hermétique et réduit les possibilités de cohabitation avec le vivant. Après quelques notions générales sur ce qu’est la biodiversité en milieu urbain, la formation passera en revue les éléments réglementaires s’appliquant aux projets de rénovation ou de construction de bâtiments aussi bien pour l’intégration du végétale (toitures vertes, façades végétalisées, etc.), que de la faune (Respect des périodes de nidification, Ordonnance Nature). Des clés de réflexion et outils seront fournis pour appliquer la réglementation et concevoir son projet en respectant le vivant.
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La dimension biologique dans l’aménagement de la ville aboutit à la rencontre entre deux disciplines : celle de l’aménagement et celle de la biologie de la conservation. Dans cette optique, les espaces aménagés doivent être réfléchis dans le but de constituer des habitats pour la biodiversité. Cela passe par la prise en compte de la biodiversité dans les projets d’aménagements. Pour ce faire la présente formation propose d’exposer aux acteurs de l’aménagement des outils pour aller vers des projets consciencieux de l’existant, tel que : la réalisation de diagnostic faune/flore via des outils de cartographie disponible en ligne, l’utilisation du CBS+, peuvent déjà permettre aux concepteurs et autorités publiques n’ayant pas de compétences en écologie d’inclure quelques principes permettant de favoriser la biodiversité dans leurs projets.
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Cette présentation fait suite à la formation de sensibilisation et d’intégration de la biodiversité dans le bâti. Le but est de parcourir, à travers différents cas concrets de rénovations, les problématiques juridiques ou réglementaires rencontrés lors des projets associant des individus protégés tel que : diagnostiquer la présence d’espèces au sein du bâti, protéger ces espèces pendant et après le chantier, respecter des calendriers biologiques, anticiper les risques, organiser le suivi, sanctions en cas de non-respect. Ou encore des sujets plus techniques tels que : le traitement du bois et des charpentes notamment, le choix des matériaux d’isolation ou l’augmentation des surfaces vitrées.
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Un entretien approprié des infrastructures végétalisées est primordial pour assurer leur pérennité et celles des ouvrages sur lesquels elles sont installées, ainsi que pour garantir le bon développement de la flore et la faune qu’elles accueillent. La formation passera en revue les recommandations techniques à intégrer dès la conception de façades et de toitures végétalisées et dans les cahiers des charges : planning et fréquence d’entretien, méthodes employées, sécurité, coûts, consommations en eau et en électricité, etc. Une comparaison des coûts d’investissement permettra d’aider dans le choix du dispositif à mettre en œuvre.
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